Le FC Nantes vit un véritable cauchemar. Après la lourde défaite 4-1 à Angers SCO lors de la 16e journée de Ligue 1, les Canaris pointent à une inquiétante 17e place avec seulement 11 points au compteur. Au cœur de ce naufrage sportif, Matthis Abline est le symbole de l'échec d'une stratégie mercato catastrophique menée par Waldemar Kita et son fils Franck. L'attaquant de 22 ans, auteur de seulement 2 buts cette saison, n'est que l'ombre du buteur prometteur qui avait éclaboussé la Ligue 1 de son talent en 2024-2025.
La situation actuelle trouve sa source dans les décisions hallucinantes prises par la direction nantaise lors du dernier mercato estival. Le FC Nantes a en effet rejeté une offre de 25 millions d'euros du Paris FC, puis une proposition encore plus généreuse de 30 millions d'euros hors bonus formulée par Wolverhampton. L'Olympique de Marseille avait également transmis une offre comprise entre 15 et 20 millions d'euros en début de mercato.
Face à ces propositions concrètes, Waldemar Kita a préféré camper sur des positions surréalistes. Le président franco-polonais réclamait initialement 50 millions d'euros pour son attaquant, un montant déconnecté de la réalité du marché. "Si à Marseille ils pensent prendre Abline pour rien du tout, ils se trompent. Abline n'ira pas à l'OM, sauf s'ils paient une fortune, 50 M€", avait-il déclaré publiquement. Cette inflation permanente des exigences nantaises a systématiquement fait fuir les prétendants, qu'il s'agisse de Sunderland, de l'Eintracht Francfort ou d'autres clubs anglais.
L'entêtement de Kita se révèle aujourd'hui désastreux sur le plan financier. Acheté définitivement à Rennes pour 10 millions d'euros à l'été 2024, Matthis Abline n'a clairement plus la même cote sur le marché des transferts que l'été dernier. Alors que le FC Nantes aurait pu encaisser jusqu'à 30 millions d'euros, soit une plus-value potentielle de 20 millions, l'actif se déprécie dangereusement au fil des semaines.
Cette chute s'explique par les performances en berne de l'international espoirs français. Avec seulement 2 buts en 16 matchs de Ligue 1 cette saison, Abline a perdu toute efficacité offensive, pas aidé par un contexte très compliqué.
Le refus de vendre Abline a privé le FC Nantes de moyens importants pour renforcer un effectif défaillant. Avec 25 à 30 millions d'euros, la direction aurait pu recruter plusieurs joueurs de qualité pour combler les lacunes criantes dans toutes les lignes. Au lieu de cela, les Canaris affichent un bilan catastrophique de 2 victoires, 5 nuls et 9 défaites après 16 journées, avec 14 buts marqués pour 28 encaissés.
Le match à Angers, première sous l'ère Ahmed Kantari après le limogeage de Luis Castro, a confirmé l'état d'agonie du club. Malgré la recrue Deiver Machado en provenance de Lens, l'équipe a sombré face à un SCO bien plus séduisant collectivement, et pourtant avec moins de moyens financiers. Les quatre buts encaissés via Himad Abdelli sur penalty, Sidiki Cherif, Djibirin Harouna et Lilian Raolisoa ont définitivement enfoncé des Nantais incapables de réagir malgré la réduction du score de Centonze.
Le bilan est sans appel : Waldemar Kita a tout perdu dans cette affaire. Sur le plan sportif, son équipe est un relégable qui file tout droit vers la Ligue 2. Sur le plan économique, la valeur d'Abline fond comme neige au soleil, réduisant les perspectives de grosse vente. Sur le plan humain enfin, la situation a fragilisé un joueur qui avait pourtant manifesté des envies de départ dès l'été.
Cette gabegie intervient dans un contexte de crise généralisée du football français, marquée par l'effondrement des droits TV. Cette déconnexion totale du propriétaire avec la réalité économique et sportive pourrait coûter très cher au FC Nantes, dont l'avenir en Ligue 1 s'assombrit de jour en jour.
La situation actuelle trouve sa source dans les décisions hallucinantes prises par la direction nantaise lors du dernier mercato estival. Le FC Nantes a en effet rejeté une offre de 25 millions d'euros du Paris FC, puis une proposition encore plus généreuse de 30 millions d'euros hors bonus formulée par Wolverhampton. L'Olympique de Marseille avait également transmis une offre comprise entre 15 et 20 millions d'euros en début de mercato.
Face à ces propositions concrètes, Waldemar Kita a préféré camper sur des positions surréalistes. Le président franco-polonais réclamait initialement 50 millions d'euros pour son attaquant, un montant déconnecté de la réalité du marché. "Si à Marseille ils pensent prendre Abline pour rien du tout, ils se trompent. Abline n'ira pas à l'OM, sauf s'ils paient une fortune, 50 M€", avait-il déclaré publiquement. Cette inflation permanente des exigences nantaises a systématiquement fait fuir les prétendants, qu'il s'agisse de Sunderland, de l'Eintracht Francfort ou d'autres clubs anglais.
L'entêtement de Kita se révèle aujourd'hui désastreux sur le plan financier. Acheté définitivement à Rennes pour 10 millions d'euros à l'été 2024, Matthis Abline n'a clairement plus la même cote sur le marché des transferts que l'été dernier. Alors que le FC Nantes aurait pu encaisser jusqu'à 30 millions d'euros, soit une plus-value potentielle de 20 millions, l'actif se déprécie dangereusement au fil des semaines.
Cette chute s'explique par les performances en berne de l'international espoirs français. Avec seulement 2 buts en 16 matchs de Ligue 1 cette saison, Abline a perdu toute efficacité offensive, pas aidé par un contexte très compliqué.
Le refus de vendre Abline a privé le FC Nantes de moyens importants pour renforcer un effectif défaillant. Avec 25 à 30 millions d'euros, la direction aurait pu recruter plusieurs joueurs de qualité pour combler les lacunes criantes dans toutes les lignes. Au lieu de cela, les Canaris affichent un bilan catastrophique de 2 victoires, 5 nuls et 9 défaites après 16 journées, avec 14 buts marqués pour 28 encaissés.
Le match à Angers, première sous l'ère Ahmed Kantari après le limogeage de Luis Castro, a confirmé l'état d'agonie du club. Malgré la recrue Deiver Machado en provenance de Lens, l'équipe a sombré face à un SCO bien plus séduisant collectivement, et pourtant avec moins de moyens financiers. Les quatre buts encaissés via Himad Abdelli sur penalty, Sidiki Cherif, Djibirin Harouna et Lilian Raolisoa ont définitivement enfoncé des Nantais incapables de réagir malgré la réduction du score de Centonze.
Le bilan est sans appel : Waldemar Kita a tout perdu dans cette affaire. Sur le plan sportif, son équipe est un relégable qui file tout droit vers la Ligue 2. Sur le plan économique, la valeur d'Abline fond comme neige au soleil, réduisant les perspectives de grosse vente. Sur le plan humain enfin, la situation a fragilisé un joueur qui avait pourtant manifesté des envies de départ dès l'été.
Cette gabegie intervient dans un contexte de crise généralisée du football français, marquée par l'effondrement des droits TV. Cette déconnexion totale du propriétaire avec la réalité économique et sportive pourrait coûter très cher au FC Nantes, dont l'avenir en Ligue 1 s'assombrit de jour en jour.